16e dimanche de l’année B

« Venez à l’écart dans un endroit désert, et reposez-vous un peu » (Mc 6, 30-34)

Nous sommes pris par la famille, les obligations, les courses… Apprendre à se reposer! « Celui qui ne se repose pas, fatigue les autres« . « Plus l’âme a reçu dans le silence, plus elle donne dans l’action » (Mère Tereza). Venez à l’écart pour renouer avec Dieu. Venez à l’écart pour s’interroger sur soi-même. Venez à l’écart pour faire le point.

AUBIN – Samedi 20, 17h30 : Jean Meertens (amis), épx Joseph Lebeau-Detrez (amis)

BOMBAYE – Dimanche 21 (fête nationale), 9h30 : pour la paroisse

WARSAGE – Dimanche 21, 9h30 : épx Claessen-Bosch, épx Joseph et Alice Lebeau-Detrez et fam., Yvan Hérens, Arlette Lieutenant, Julia Crutzen. Maurice Delheusy et fam.Delheusy-Ernst.

DALHEM – Dimanche 21, 11h : épx Vaessen-Duyckaerts et Lonneux-Vieillevoye, Henriette Beuken-De Winter (ann.)

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Seigneur, notre Dieu, veille sur ceux qui prennent la route :
qu’ils arrivent sans encombre au terme de leur voyage.
Que ce temps de vacances soit pour nous tous
un moment de détente, de repos, de paix !

Sois pour nous, Seigneur, l’Ami que nous retrouvons sur nos routes,
qui nous accompagne et nous guide.
Donne-nous le beau temps et le soleil qui refont nos forces
et qui nous donnent le goût de vivre.
Donne-nous la joie simple et vraie
de nous retrouver en famille et entre amis.

Donne-nous d’accueillir ceux que nous rencontrerons
pour leur donner un peu d’ombre quand le soleil brûle trop,
pour leur ouvrir notre porte quand la pluie et l’orage les surprennent,
pour partager notre pain et notre amitié
quand ils se trouvent seuls et désemparés.

Seigneur, notre Dieu, veille encore sur nous
quand nous reprendrons le chemin du retour :
que nous ayons la joie de nous retrouver pour vivre ensemble
une nouvelle année, nouvelle étape sur la route du salut. Amen.

(Prières pour les jours incontournables, Éditions du Signe, 2001)

« Saisi de compassion » (JDS 21.07.2024)

« … C’est comme cela qu’un saint Vincent de Paul, une mère Teresa, une sœur
Emmanuelle se sont retrouvés dans les chiourmes, dans les mouroirs ou dans les bidonvilles alors qu’ils n’avaient pas du tout prévu que leur vie tournât ainsi : parce qu’ils ont été saisis de compassion. C’est comme cela que nous tous, nous nous levons, et nous acceptons de servir.
La charité par devoir n’est pas une charité. Elle nous met en paix avec notre conscience, et c’est déjà bien, mais la vraie charité est ailleurs.
La vraie charité, c’est d’avoir le droit de se reposer, le droit de prendre sa retraite, le droit de dormir, et de se relever parce qu’un enfant, un ami, un parent nous appelle. La vraie charité, si j’ose dire, a à la fois le cœur battant et les membres courbatus. Car à être saisis au cœur, nous éprouvons enfin, même si c’est inattendu ou fatiguant, cette joie profonde qui est la joie de l’amour. Et nous nous donnons aux autres, heureux de répondre « oui ».

Que le Seigneur nous donne cette morsure d’amour, qu’il nous donne cette compassion dans laquelle, bien plus qu’en aucun repos, nous trouverons notre bonheur. »

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